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Une étoile montante qui brille au SIEL

Une étoile montante qui brille au SIEL
Abir azim
Abir Azim, la plus jeune écrivaine du monde arabe, à la 28ème édition du SIEL. Le 2 juin 2023, Rabat.

La 28ème édition du Salon International de l’Édition et du Livre jette la lumière sur des jeunes talents littéraire. Le cas de Abir Azim est édifiant. A peine âgée de 14 ans, cette plume prodigieuse a fait parler d’elle grâce à son roman « Soleil de taille d’une paume ».

Abir azim
Abir Azim, la plus jeune écrivaine du monde arabe, à la 28ème édition du SIEL. Le 2 juin 2023, Rabat.

La 28ème édition du Salon International de l’Édition et du Livre jette la lumière sur des jeunes talents littéraire. Le cas de Abir Azim est édifiant. A peine âgée de 14 ans, cette plume prodigieuse a fait parler d’elle grâce à son roman « Soleil de taille d’une paume ».

Plume
Abir Azim, auteure du roman « Soleil de taille d’une paume »
Abir Azim, auteure du roman « Soleil de taille d’une paume »
Une étoile montante qui brille au SIEL
Abir azim
Abir Azim, la plus jeune écrivaine du monde arabe, à la 28ème édition du SIEL. Le 2 juin 2023, Rabat.

La 28ème édition du Salon International de l’Édition et du Livre jette la lumière sur des jeunes talents littéraire. Le cas de Abir Azim est édifiant. A peine âgée de 14 ans, cette plume prodigieuse a fait parler d’elle grâce à son roman « Soleil de taille d’une paume ».

Abir Azim, une véritable source d’inspiration ! Le propos n’est pas vain. À 14 ans, elle compte à son actif deux romans. Le dernier, en l’occurrence « Soleil de taille d’une paume », a été dédicacée par la jeune écrivaine vendredi 2 juin 2023 au Pavillon de la Bibliothèque Essalam, au premier jour de la 28ème édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) à Rabat.

Une séance qui a attiré une foule de fans et de curieux venus découvrir Abir.

On y voyait des jeunes et moins jeunes, et surtout des enfants qui étaient émerveillés par l’âge précoce d’une écrivaine prodige dont le talent a été reconnu par des plus littéraires avérées. Lors de cette cérémonie, Abir a fait montre d’un autre talent, celui de la communication. Elle encourageait son public jeune à s’accrocher à leurs rêves créatifs et à croire, dur comme fer, à leur potentiel.

Donner une voix aux jeunes

Le talent de Abir n’est pas l’œuvre du hasard. Loin s’en faut. Déjà, c’est une fille passionnée et mordue de lecture. Elle « dévore » les livres. Malgré son jeune âge, Abir a eu l'occasion de participer à plusieurs compétitions littéraires. Au Maroc, comme ailleurs dans le monde arabe. À 11 ans, elle a remporté le Prix national de la lecture en 2020, organisé par le Réseau de Lecture au Maroc.

C’est dire que son succès d’aujourd’hui est bien mérité. Et il est loin d’être éphémère. À travers « Soleil de taille d’une paume », la jeune écrivaine a démontré qu’elle a un potentiel fertile et à cultiver. Originaire de la petite ville de Tahla, dans la province de Taza, elle a su se surpasser, encouragé en cela par sa famille, sa véritable source de motivation.

Qui dirait qu’elle a 14 ans quand elle déclare qu’elle souhaite que la société change de regard à l’égard des personnes à besoins spécifiques. C’est dire aussi la sensibilité de cette écrivaine en herbe aux questions de société.

Abir est consciente de l’impact qu’elle peut avoir sur ses lecteurs en tant qu’écrivaine. Sa plume, mise en lumière par le SIEL, incarne l'espoir et le potentiel de jeunes talents marocains à la recherche d’un modèle. Elle prouve que l'âge n'est pas un obstacle pour se distinguer.

Si Abir Azim a un nom aujourd’hui, c’est, sans l’ombre d’un doute, le fruit de son engagement et de son talent. Mais c’est aussi, avouons-le, grâce à un événement d’envergure comme le SIEL qui lui a offert une tribune appropriée pour rencontrer le grand public et côtoyer ses « ancêtres » dans le monde du verbe et des lettres.

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