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La relation des enfants avec leur patrimoine est comme un terrain fertile qui a besoin d’être cultivé. En observant les différents dessins réalisés par les élèves au pavillon Enfant du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) à Rabat, où chacun représente un élément de la culture marocaine, l’on se rend à l’évidence que le lien entre les enfants et leur patrimoine existe bel et bien et est même fort. Une activité qui rentre dans le cadre du programme « Je dessine mon patrimoine », organisé par La Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, mercredi 7 juin 2023. Présidée par la princesse Lala Hasnaa, la Fondation s'engage ardemment pour l'éducation, la sensibilisation et la protection du patrimoine matériel et immatériel de la capitale.
Le but derrière cet atelier, comme nous l’explique Mona Belbekri, responsable des programmes culturels de la Fondation, est de forger un lien unique entre chaque enfant et son patrimoine, afin qu’il puisse le chérir tout au long de sa vie. « Les élèves sont encouragés à choisir un aspect du patrimoine de la capitale Rabat. Nous mettons l'accent sur le patrimoine immatériel, comme les caftans, les tajines, les babouches... À la fin, les dessins des enfants sont regroupés dans un livre, chaque dessin étant accompagné d'une histoire propre à chaque enfant », nous confie-t-elle.
Des histoires surprenantes dans lesquelles se cachent un bonheur innocent qu’on ne peut retrouver que chez les enfants. Parmi ces derniers, Walid, âgé de 12 ans, a choisi de représenter l'entrée du Palais royal au moment de l’accueil de l'équipe nationale de football au regard de son parcours impressionnant à la Coupe du Monde Qatar 2022. « J'y étais avec mon père et je me souviens très bien de la façade du Palais. C'était vraiment magnifique », dit-il avec un sourire radieux, témoignant de l'attachement qu'il porte à ce souvenir. Ghita, 12 ans, a opté pour le dessin d'une babouche jaune éclatante. Un choix qui témoigne de l’amour qu’elle porte à sa grand-mère. « Ma grand-mère portait toujours cette babouche jaune. On savait tout de suite qu’elle est à la maison juste rien qu’en observant sa babouche près de la porte. C'est pourquoi j'ai voulu la dessiner », raconte-t-elle, l’air timide et émue.
Quant à Yassine, âgé de 11 ans, il a représenté une théière marocaine traditionnelle. Ce choix est empreint d'une histoire touchante. « Lors d'une promenade avec mes parents dans les anciennes ruelles de la médina, j'ai été captivé par une théière. Mon père me l'a achetée et depuis ce jour, nous buvons du thé servi dans cette théière à l’occasion de chaque Aïd. C'est pour cette raison que je tenais à la dessiner », raconte-t-il avec enthousiasme, ses petites mains s'agitant dans les airs.
Le lien entre les enfants et leur patrimoine rappelle une tapisserie qui se tisse peu à peu, fil par fil, à travers les souvenirs qu'ils créent avec leur culture. Les activités organisées au pavillon Enfant renforcent ce sentiment d'appartenance au patrimoine marocain et font en sorte que ces enfants deviennent, à leur tour, les futurs gardiens du temple de cette culture.
La relation des enfants avec leur patrimoine est comme un terrain fertile qui a besoin d’être cultivé. En observant les différents dessins réalisés par les élèves au pavillon Enfant du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) à Rabat, où chacun représente un élément de la culture marocaine, l’on se rend à l’évidence que le lien entre les enfants et leur patrimoine existe bel et bien et est même fort. Une activité qui rentre dans le cadre du programme « Je dessine mon patrimoine », organisé par La Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, mercredi 7 juin 2023. Présidée par la princesse Lala Hasnaa, la Fondation s'engage ardemment pour l'éducation, la sensibilisation et la protection du patrimoine matériel et immatériel de la capitale.
Le but derrière cet atelier, comme nous l’explique Mona Belbekri, responsable des programmes culturels de la Fondation, est de forger un lien unique entre chaque enfant et son patrimoine, afin qu’il puisse le chérir tout au long de sa vie. « Les élèves sont encouragés à choisir un aspect du patrimoine de la capitale Rabat. Nous mettons l'accent sur le patrimoine immatériel, comme les caftans, les tajines, les babouches... À la fin, les dessins des enfants sont regroupés dans un livre, chaque dessin étant accompagné d'une histoire propre à chaque enfant », nous confie-t-elle.
Des histoires surprenantes dans lesquelles se cachent un bonheur innocent qu’on ne peut retrouver que chez les enfants. Parmi ces derniers, Walid, âgé de 12 ans, a choisi de représenter l'entrée du Palais royal au moment de l’accueil de l'équipe nationale de football au regard de son parcours impressionnant à la Coupe du Monde Qatar 2022. « J'y étais avec mon père et je me souviens très bien de la façade du Palais. C'était vraiment magnifique », dit-il avec un sourire radieux, témoignant de l'attachement qu'il porte à ce souvenir. Ghita, 12 ans, a opté pour le dessin d'une babouche jaune éclatante. Un choix qui témoigne de l’amour qu’elle porte à sa grand-mère. « Ma grand-mère portait toujours cette babouche jaune. On savait tout de suite qu’elle est à la maison juste rien qu’en observant sa babouche près de la porte. C'est pourquoi j'ai voulu la dessiner », raconte-t-elle, l’air timide et émue.
Quant à Yassine, âgé de 11 ans, il a représenté une théière marocaine traditionnelle. Ce choix est empreint d'une histoire touchante. « Lors d'une promenade avec mes parents dans les anciennes ruelles de la médina, j'ai été captivé par une théière. Mon père me l'a achetée et depuis ce jour, nous buvons du thé servi dans cette théière à l’occasion de chaque Aïd. C'est pour cette raison que je tenais à la dessiner », raconte-t-il avec enthousiasme, ses petites mains s'agitant dans les airs.
Le lien entre les enfants et leur patrimoine rappelle une tapisserie qui se tisse peu à peu, fil par fil, à travers les souvenirs qu'ils créent avec leur culture. Les activités organisées au pavillon Enfant renforcent ce sentiment d'appartenance au patrimoine marocain et font en sorte que ces enfants deviennent, à leur tour, les futurs gardiens du temple de cette culture.
La relation des enfants avec leur patrimoine est comme un terrain fertile qui a besoin d’être cultivé. En observant les différents dessins réalisés par les élèves au pavillon Enfant du Salon international de l’édition et du livre (SIEL) à Rabat, où chacun représente un élément de la culture marocaine, l’on se rend à l’évidence que le lien entre les enfants et leur patrimoine existe bel et bien et est même fort. Une activité qui rentre dans le cadre du programme « Je dessine mon patrimoine », organisé par La Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, mercredi 7 juin 2023. Présidée par la princesse Lala Hasnaa, la Fondation s'engage ardemment pour l'éducation, la sensibilisation et la protection du patrimoine matériel et immatériel de la capitale.
Le but derrière cet atelier, comme nous l’explique Mona Belbekri, responsable des programmes culturels de la Fondation, est de forger un lien unique entre chaque enfant et son patrimoine, afin qu’il puisse le chérir tout au long de sa vie. « Les élèves sont encouragés à choisir un aspect du patrimoine de la capitale Rabat. Nous mettons l'accent sur le patrimoine immatériel, comme les caftans, les tajines, les babouches... À la fin, les dessins des enfants sont regroupés dans un livre, chaque dessin étant accompagné d'une histoire propre à chaque enfant », nous confie-t-elle.
Des histoires surprenantes dans lesquelles se cachent un bonheur innocent qu’on ne peut retrouver que chez les enfants. Parmi ces derniers, Walid, âgé de 12 ans, a choisi de représenter l'entrée du Palais royal au moment de l’accueil de l'équipe nationale de football au regard de son parcours impressionnant à la Coupe du Monde Qatar 2022. « J'y étais avec mon père et je me souviens très bien de la façade du Palais. C'était vraiment magnifique », dit-il avec un sourire radieux, témoignant de l'attachement qu'il porte à ce souvenir. Ghita, 12 ans, a opté pour le dessin d'une babouche jaune éclatante. Un choix qui témoigne de l’amour qu’elle porte à sa grand-mère. « Ma grand-mère portait toujours cette babouche jaune. On savait tout de suite qu’elle est à la maison juste rien qu’en observant sa babouche près de la porte. C'est pourquoi j'ai voulu la dessiner », raconte-t-elle, l’air timide et émue.
Quant à Yassine, âgé de 11 ans, il a représenté une théière marocaine traditionnelle. Ce choix est empreint d'une histoire touchante. « Lors d'une promenade avec mes parents dans les anciennes ruelles de la médina, j'ai été captivé par une théière. Mon père me l'a achetée et depuis ce jour, nous buvons du thé servi dans cette théière à l’occasion de chaque Aïd. C'est pour cette raison que je tenais à la dessiner », raconte-t-il avec enthousiasme, ses petites mains s'agitant dans les airs.
Le lien entre les enfants et leur patrimoine rappelle une tapisserie qui se tisse peu à peu, fil par fil, à travers les souvenirs qu'ils créent avec leur culture. Les activités organisées au pavillon Enfant renforcent ce sentiment d'appartenance au patrimoine marocain et font en sorte que ces enfants deviennent, à leur tour, les futurs gardiens du temple de cette culture.
La culture marocaine, perçue par les yeux des enfants. C’est le but de l’atelier « Je dessine mon patrimoine », organisé au Pavillon Enfant, le mercredi 7 juin 2023. Une occasion de découvrir notre patrimoine à travers les créations artistiques des élèves.
