Driss Chraïbi est toujours parmi nous. Ses mots résonnent encore et interpellent ses lecteurs. La salle Hiwar du SIEL 2025 a rouvert son roman « Les Boucs ». Un bel hommage lui a été rendu à travers une lecture croisée pleine d’émotion.
Driss Chraïbi est toujours parmi nous. Ses mots résonnent encore et interpellent ses lecteurs. La salle Hiwar du SIEL 2025 a rouvert son roman « Les Boucs ». Un bel hommage lui a été rendu à travers une lecture croisée pleine d’émotion.
Driss Chraïbi est toujours parmi nous. Ses mots résonnent encore et interpellent ses lecteurs. La salle Hiwar du SIEL 2025 a rouvert son roman « Les Boucs ». Un bel hommage lui a été rendu à travers une lecture croisée pleine d’émotion.
Un anniversaire qui ne pouvait pas passer inaperçu ! Les 70 ans de publication du roman « Les Boucs » sont célébrés au SIEL de la capitale lumière.
Deux figures reconnues de la littérature francophone, Zineb Mekouar, écrivaine franco-marocaine, et Mustapha Kebir Ammi, écrivain, romancier et essayiste, ont débattu un auteur hors pair : Driss Chraïbi. La rencontre a été modérée par Kacem Basfao, professeur à la faculté des lettres de Casablanca.
Lors de cette rencontre, les conférenciers ont relu et commenté des passages du livre « Les Boucs », publié en 1955 à Paris et considéré comme le premier roman marocain sur l’immigration. « Ce qui m’a touchée le plus, c’est la musicalité. On a l’impression que c’est une partition de musique, avec des silences, avec des coups de poings parfois, et j’ai beaucoup aimé », a souligné Zineb Mekouar, émue par le style de cet auteur.
A travers leurs lectures à voix haute et leurs échanges, les deux écrivains ont mis en lumière la force subtile de Driss Chraïbi ainsi que son regard critique sur la société. Ce moment de mémoire prépare aussi la commémoration du centenaire de la naissance de Driss Chraïbi, prévue en 2026, qui témoigne de son impact durable sur la littérature marocaine francophone et sur la question migratoire.
