Nous avons pris la direction du sud du Royaume du Maroc ce vendredi de 11h à 12h au SIEL. Une rencontre culturelle s’est tenue dans la salle ˝ Tawassol ˝, sous le thème : « Le Maroc pluriel : les arts de la performance hassanie (théâtre, cinéma, drame) ».
Nous avons pris la direction du sud du Royaume du Maroc ce vendredi de 11h à 12h au SIEL. Une rencontre culturelle s’est tenue dans la salle ˝ Tawassol ˝, sous le thème : « Le Maroc pluriel : les arts de la performance hassanie (théâtre, cinéma, drame) ».
Nous avons pris la direction du sud du Royaume du Maroc ce vendredi de 11h à 12h au SIEL. Une rencontre culturelle s’est tenue dans la salle ˝ Tawassol ˝, sous le thème : « Le Maroc pluriel : les arts de la performance hassanie (théâtre, cinéma, drame) ».
La table ronde autour des arts hassanis a permis de mettre en lumière la richesse et l’évolution des arts de la scène et de l’image dans les provinces du sud marocain. Animée par Abdellati Bouchaâb, la rencontre a réuni deux figures de la scène artistique hassanie. La réalisatrice Aïda Bouy et l’actrice Aliya Touir ont partagé leurs parcours et leurs expériences au service d’une composante importante de l’identité marocaine.
Le théâtre, le cinéma et les séries télévisées ont connu un développement remarquable depuis le début du 20ème siècle. Depuis, de nombreuses créations qui racontent la culture du Sud mettent en avant la richesse du patrimoine hassani et jettent le projecteur sur des histoires qui sont longtemps restées dans l’ombre.
Lors de son intervention, la réalisatrice Aïda Bouy a souligné que « le cinéma hassani s’impose de plus en plus. Des réalisateurs et des films issus de cette culture ont participé à des festivals internationaux et ont réussi à décrocher des prix ». Elle a insisté sur la nécessité de développer davantage ce secteur et d’optimiser le soutien financier dédié à ces œuvres pour garantir leur qualité et leur pérennité. A travers cet échange, Aïda Bouy et Aliya Touir ont appelé à renforcer davantage le soutien apporté à la production et à la diffusion des œuvres hassanies. La formation de jeunes talents et une intégration plus efficace de ces arts dans les évènements culturels nationaux ont occupé une place centrale dans la rencontre.