Le SIEL, c’est aussi les rencontres et les débats académiques. La question de l’accès aux études scientifiques a suscité l’intérêt d’une panoplie de chercheurs, académiciens, journalistes et experts qui ont pris part à une table ronde intitulée « Open Data et Open Science ». Cette rencontre a réuni cinq voix venues de divers horizons pour tenter de répondre à une question capitale : comment faire de la science un bien commun?
Le SIEL, c’est aussi les rencontres et les débats académiques. La question de l’accès aux études scientifiques a suscité l’intérêt d’une panoplie de chercheurs, académiciens, journalistes et experts qui ont pris part à une table ronde intitulée « Open Data et Open Science ». Cette rencontre a réuni cinq voix venues de divers horizons pour tenter de répondre à une question capitale : comment faire de la science un bien commun?
Le SIEL, c’est aussi les rencontres et les débats académiques. La question de l’accès aux études scientifiques a suscité l’intérêt d’une panoplie de chercheurs, académiciens, journalistes et experts qui ont pris part à une table ronde intitulée « Open Data et Open Science ». Cette rencontre a réuni cinq voix venues de divers horizons pour tenter de répondre à une question capitale : comment faire de la science un bien commun?
Renforcer les collaborations scientifiques et le partage d’informations au bénéfice de la science et de la société. C’est l’objectif de la science ouverte débattue ce lundi dans la salle Hiwar du SIEL. Des chercheurs de renoms ont essayé de tracer les contours d’une orientation stratégique en faveur de la science. Elsa Sattout, représentante de l’UNESCO, Pascal Aventurier, responsable de l’IST à l’IRD, Yousef Torman, directeur du réseau ASREN, Hala Bayoumi, chercheure au CNRS et Hanae Lrhoul, universitaire, ont croisé leurs regards pour penser une science plus équitable, plus accessible et, surtout, plus tournée vers l’intérêt général.
“Il ne s’agit pas seulement d’accéder à l’information, mais de transformer en profondeur la manière dont la science est produite et partagée”, a résumé Hanae Lrhoul. La chercheure insiste sur une idée clé : l’ouverture des données scientifiques ne se limite pas à la transparence, elle favorise aussi la collaboration internationale et améliore la qualité de la recherche. Pour Hala Bayoumi, “Publier en accès libre, c’est aussi affronter la question des plateformes, de la qualité des données et des formats de partage”.
Selon les intervenants, le principe est clair : rendre accessibles les publications, les bases de données et les méthodes au profit de tous ; chercheurs, experts, journalistes et citoyens lambda. A l’heure de l’urgence climatique, des pandémies et des mutations sociales rapides, une science fermée serait une science sourde aux besoins du monde.