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Organisation, public, ventes, sécurité… les éditeurs expriment leur grande satisfaction !

La 27ème édition du Salon International de l’Edition et du Livre à Rabat touche à sa fin
Organisation, public, ventes, sécurité… les éditeurs expriment leur grande satisfaction !

Cette manifestation s’est déroulée dans de très bonnes conditions à Rabat. Le Salon a attiré beaucoup de visiteurs. Les chiffres d’affaires de tous les éditeurs sont bien meilleurs que ceux réalisés à Casablanca. L’organisation est excellente », dixit Abdelkader Retnani, responsable à La croisée des chemins.

Organisation, public, ventes, sécurité… les éditeurs expriment leur grande satisfaction !

Cette manifestation s’est déroulée dans de très bonnes conditions à Rabat. Le Salon a attiré beaucoup de visiteurs. Les chiffres d’affaires de tous les éditeurs sont bien meilleurs que ceux réalisés à Casablanca. L’organisation est excellente », dixit Abdelkader Retnani, responsable à La croisée des chemins.

La 27ème édition du Salon International de l’Edition et du Livre à Rabat touche à sa fin
Organisation, public, ventes, sécurité… les éditeurs expriment leur grande satisfaction !

Cette manifestation s’est déroulée dans de très bonnes conditions à Rabat. Le Salon a attiré beaucoup de visiteurs. Les chiffres d’affaires de tous les éditeurs sont bien meilleurs que ceux réalisés à Casablanca. L’organisation est excellente », dixit Abdelkader Retnani, responsable à La croisée des chemins.

Dimanche 12 juin 2022, dernier jour du Salon International de l’Edition et du Livre, à l’OLM Soussi, Rabat, l’affluence des visiteurs était remarquablement importante. Nous avons, à cette occasion, sondé l’avis des responsables des différentes maisons d’éditions exposant au SIEL au sujet du bilan de leur participation à cette 27ème édition. Premier constat qui se dégage : une satisfaction générale, à bien des égards. « On est toujours présent au Salon International de l’Edition et du Livre.

Pour cette édition qui se tient exceptionnellement à Rabat, je peux dire que tout s’est bien passé, tant au niveau de l’organisation que de la sécurité. Si j’ai un souhait à faire, c’est que Rabat puisse abriter les prochaines éditions du SIEL », nous confie Adil Boutayeb, responsable à la maison d’édition Sochepress. Même son de cloche chez M. Abdou, responsable de la maison d’édition Préface. « Pour cette première édition tenue à Rabat, et après plusieurs années d’expérience à Casablanca, je puis dire que c’était une belle expérience. Tout s’est bien déroulé, en termes d’afflux des visiteurs ou d’organisation », enchaîne M. Abdou.

La satisfaction atteint son apogée pour un habitué du SIEL. « C’est la première année que nous exposons à Rabat dans le cadre du SIEL dont je suis un membre-fondateur à Casablanca depuis 1987. Rabat a été désigné capitale culturelle africaine mais aussi du monde islamique. A notre grande surprise, cette manifestation s’est déroulée dans de très bonnes conditions à Rabat. On a relevé un accueil important du public r’bati. Nous avons aussi rencontré sur notre stand des personnes de Meknès, Fès et Tanger… de partout. Le Salon a attiré beaucoup de visiteurs. Les chiffres d’affaires de tous les éditeurs sont bien meilleurs que ceux réalisés à Casablanca. L’organisation est excellente », dixit Abdelkader Retnani, responsable à la maison d’édition La croisée des chemins. Un tour dans les espaces où exposent les éditeurs arabes, nous avons croisé l’écrivaine égyptienne, Hind Abdullah. « La première fois que j’ai assisté au Salon International de l’Edition et du Livre, c’était à Casablanca. Le Salon était plus grand certes, mais il n’était pas si bien organisé. A vrai dire, cette année, le salon est bien équipé et très bien organisé. », avoue-t-elle. Partageant la même conviction, Nadia Essalmi, éditrice marocaine, fondatrice de la maison d’édition Yomad, en fait un bilan sans appel. « C’est une exception cette année. On a un vrai salon, un salon professionnel, un salon de très bonne organisation, marquée par une sécurité sans faille et cela me manquait à Casablanca. », lance-t-elle sur un ton joyeux. Un autre éditeur marocain, en l’occurrence Tarik Slaiki, s’étale dans le même sens: « Le changement de refuge du SIEL a été l’occasion de réfléchir et de reconsidérer plusieurs choses, au niveau de l’organisation et de la disposition des couloirs. Pour la première fois, on voit qu’il y a un espace d’infirmerie et tout a été pensé pour faciliter l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite », conclut-t-il.

 

 

 

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